Scylla Ramshorn - Living like renegade.

" J'ai alors appris quelque chose, les chevaliers ne sont pas si chevaleresques quand personne ne les regarde"

+ Nom : Ramshorn.
+ Prénom : Scylla.
+ Surnom : Le Merle noir.
+ Date de naissance : An 1255, 24 ans.
+ Lieu de naissance : Au sein de la forteresse d'une petite baronnie située au nord de la Temeria.
+ Lieu de résidence : Sur les routes, dans les campements improvisés par sa Hanse.
+ Situation familiale : Célibataire et grande amoureuse de courtisannes et femmes de petite vertu. Elle fréquente les bordels où les filles soulèvent leurs jupes pour quelques piécettes bien clinquantes.
+ Rang, rôle, emploi : Bandit, criminelle, renégat ou tueuse, elle n'a pas de profession a proprement parlé. Elle vit et survit avec du brigandage et du racket.
+ Race : Humain.
+ Groupe(s) : Parias, mutants et non-humains.

La superstition veut qu'elle soit maudite par le Soleil Noir et porte le mal en elle. Mais ce sont les agissements de sa famille qui l'ont destinés à faire le mal. Si elle n'avait pas été rejetée, répudiée, abusée, elle ne serait sans doute pas celle qu'elle est aujourd'hui, avide de vengeance. Elle a plusieurs cicatrices, certaines dû à des combats, blessée par les armes. Mais l'une lui a été faite par un monstre, pour qu'il se souvienne toujours d'elle. En haut de sa cuisse, à quelques centimètres de son entrejambe. Cette cicatrice a la forme des initiales de son bourreau. Mais elle a juré de se venger et cette cicatrice l'aide à ne jamais oublier ce qu'on lui a fait subir pendant son enfance et son adolescence.

Elle est une combattante agile et rapide qui n'hésite pas à prendre de vitesse ses adversaires, compensant la force physique qu'elle ne possède pas. Quand elle est en posture de garde, sa lame est appuyée contre son avant-bras, une posture qui lui est propre au combat. Utilisant une épée, qu'elle manie d'une main ou d'une autre, elle garde toujours un poignard avec elle pour ne jamais être désarmée.

On la trouvera souvent dans un bordel avec une catin sur les cuisses, profitant des petits plaisirs de la vie. Elle sait que son destin n'est pas de mourir de vieillesse alors elle en profite avant de tomber d'une mort spectaculaire.

 Faites figurer ici toutes informations annexes que vous souhaitez ajouter au sujet de votre personnage.

Sa naissance : Scylla est la cadette de sa fratrie, née quelques années après Lyanna, l'aînée, celle qu'elle voyait comme un modèle. La naissance de Scylla fut très controversée. Elle a eu le malheur de naître pendant une éclipse totale et on considéra qu'elle était affectée par la malédiction du Soleil noir, une croyance ancienne qui laissait croire que les filles nées pendant les éclipses portaient le Mal en elles. Cet événement marqua ainsi toute sa jeunesse, son enfance et son adolescence, et façonna celle qu'elle était devenue aujourd'hui, une jeune femme pleine de haine et de rancœur, ne pensant qu'à la vengeance. 

Son enfance : L'enfance de Scylla a été particulière. Elle ne vivait pas comme les autres enfants et comme sa sœur aînée. Elle passait le plus clair de son temps isolée dans une aile du château du reste du monde. Elle ne pouvait pas jouer avec les autres enfants de son âge. Elle enviait ces gamins qui s'amusaient, ne les voyant que depuis sa fenêtre. Elle jalousait sa sœur même si elles étaient très proches. Elle était un modèle pour la cadette et lui apportait du réconfort quand elle était en proie à des cauchemars, la réveillant en pleine nuit, hurlant de terreur. Elle a gardé de cette époque un vieux carnet en cuir dans lequel elle dessinait les monstres qui la hantait à la nuit tombée, quand elle fermait les paupières et essayait de s'endormir. Ses parents la regardaient différemment. Quand ils organisaient des réceptions, elle n'était pas conviée et quand la famille était invitée, elle restait seule, avec quelques serviteurs pour seule compagnie.

La malédiction, les premiers maux : Scylla s'ennuyait beaucoup et elle se lassait de cette vie d'ermite. Ses parents desserrèrent la bride, lui accordant plus de liberté. Elle découvrait la joie de jouer dehors, de voir d'autres visages, ceux des gamins qu'elle voyait des années plus tôt depuis la fenêtre de sa chambre. Elle avait besoin de plus pour pimenter ses longues journées. Cependant, il arriva que ses farces aillent trop loin. Un jour, elle découvrit qu'un garçon avait le béguin pour Lyanna et lui fit croire qu'elle pouvait lire l'avenir dans ses rêves. Elle prétendit donc que son frère, jaloux, le tuerait le jour de son mariage avec Lyanna. Elle pensait juste l'effrayer, mais son geste eut des conséquences graves quand le garçon vola une épée de son père et tua son frère, blessant les deux familles. Ses parents commencèrent à avoir des doutes, songeant à la faire surveiller de près. Mais un événement qui marqua la famille et Scylla fut lors d'une dispute avec Lyanna, que cette dernière avait commencée en frappant Scylla qui se défendit et lui cassa deux dents avant que la gouvernante ne les sépare. Sa sœur est allée se plaindre auprès de ses parents, ne pensant pas que cet incident puisse causer de lourdes conséquences. Ils avaient décidé de punir Scylla, malgré le témoignage de la gouvernante qui avait assisté à la scène et le geste de Lyanna qui essaya aussi d'atténuer la situation. Mais rien ne les fit changer d'avis, croyant plus fort encore à la malédiction du Soleil Noir. Scylla n'a pas put oublier cet événement, le vivant comme une trahison, une injustice. Suite à cela, elle vécut difficilement le défilé de médecins et de magiciens faisant des tests sur elle, cherchant sans doute à en apprendre davantage sur cette rude croyance. Elle a surtout souffert du manque d'attention, d'affection et de tendresse de la part de ses parents, ayant grandi sans, ce qui a contribué à forger son caractère.

Bannissement : Scylla avait atteint l'âge de l'adolescence mais elle n'avait pas mûrit pour autant, insouciante, inconsciente de ce qui pouvait se tramer dans son dos. Elle continuait de faire des farces pour s'amuser et passer son temps, n'ayant guère mieux à faire. Lyanna et elle ont décidé de jouer un tour à un envoyé venu au château, lui lançant depuis le rempart des vessies de poissons bourrées de suif sur son crâne chauve, pouffant de rire en atteignant la cible avant de s'enfuir en courant. Seulement, la farce ne fut pas du goût des parents qui décidèrent de sanctionner plus fermement Scylla. Personne ne l'a défendu alors que son père la blâmait, lui reprochait son mauvais comportement, toutes les fois où elle avait dépassé les limites. Le couperet tomba sur sa tête, condamnée à l'exil, bannie du royaume. Elle implora son père de ne pas le faire, de lui laisser une chance. Sa mère n'avait rien dit, détournant les yeux de sa fille, ne prenant pas parti, ne s'opposant pas à son mari alors qu'elle aurait pu la sauver. Elle avait renoncé à sa fille et Scylla lui en a voulu pour ça. Elle fut dépouillée de ses titres, on annonça sa mort d'une maladie mais un soir des chevaliers la firent quitter le donjon, l'escortant aux confins du royaume. Le groupe avait reçu l'ordre d'emmener Scylla aux abords d'une rivière, près de la frontière sud du royaume. Cependant, la route fut longue et tortueuse et la jeune fille connut de nombreux sévices de la part de ses gardiens. Ils l'insultèrent, se moquèrent d'elle et l'affamèrent. Ils la maltraitèrent à leur guise et alors qu'elle tenta de s'échapper, elle fut rattrapée et un des chevaliers la battit, même après qu'elle ait perdu connaissance. Peu de temps avant d'arriver à la frontière, l'un d'eux voulut abuser d'elle, voir ce que ça faisait de coucher avec une princesse. Elle n'a jamais oublié son rire, même après toutes ces années. Quand il eut terminé, elle profita d'un court répit pour s'enfuir aussi loin qu'elle le pouvait. Vêtue d'une robe en lambeaux, sans le sou et dans le froid, espérant qu'elle mourrait bientôt, ses poursuivants ont stoppé la traque. Mais Scylla a juré de ne jamais oublier et de se venger pour ce qu'on lui avait fait, de faire justice à tous ceux qui avaient quelque chose à voir de près ou de loin avec son infortune. Elle a ensuite erré plusieurs jours, mourant presque de froid et de faim. Elle tomba sur un camp de bandits et épuisée, tomba inconsciente.

Renégat à bandit, une vie de crime et de haine : Ce groupe l'a recueilli, l'a protégé. C'est devenu sa famille, des gens qui comptaient pour elle. Des voleurs, des meurtriers, des assassins. Ils ont pris soin d'elle. Ils ont partagé leurs ressources, se sont assurés qu'elle ne dépérisse pas. Et quand elle se sentit prête, elle leur fit le récit de son histoire. Certains voulaient l'aider dans sa vengeance et elle en était reconnaissante. Mais le chemin était encore long. Une bande de déserteurs et de criminels ne ferait pas le poids face à une famille et ses alliés. Elle apprit à se battre avec un ancien soldat, qui lui donna son épée. Elle a appris les rudiments, se positionner, frapper, esquiver, parer. L'homme était devenu son mentor et les entraînements réguliers faisaient d'elle une redoutable duelliste. La jeune combattante comprit que son point fort était son agilité, sa rapidité, sa souplesse et sa légèreté et non la force brute et la puissance. Elle fait sa part pour le groupe, qui vit d'embuscades, de maraudage, de racket de protection dans des villages sans défense. Payez et vous avez la vie sauve, voilà le mode de vie des marauds et embusqués qui campent dans les bois ou près des villages quand personne ne les cherche et qui repartent dès que l'étreinte se resserre autour de leurs cous.

CARACTÈRE DE VOTRE PERSONNAGE ▬ En plus de 300 mots décrivez le caractère de votre personnage.

Scylla a toujours été d'un naturel solitaire. C'était presque inné chez elle. Enfant, elle était très souvent seule. Elle n'avait pas de compagnie, pas d'enfant de son âge avec qui se lier d'amitié. Ses parents avaient décidé de l'isoler dans une aile de la forteresse à cause de la malédiction qui pesait sur ses épaules. Elle souffrait ainsi en silence de cette solitude qui était sa seule compagnie, à la fois sa meilleure amie et sa pire ennemie. Elle n'est pas très loquace, elle n'avait personne à qui parler. Elle s'était emmuré dans un silence angoissant, faisant d'elle cette femme laconique qui ne s'exprimait que peu et qui avait aussi du mal à s'attacher, à tisser des relations sociales, à manifester de vrais signes d'affections et de tendresse. Car de tendresse, l'enfant en fut privée dès son plus jeune âge. Son cœur froid est empli d'une profonde noirceur qui la consume. Elle est rancunière et sa seule ambition est de vivre assez longtemps pour assouvir sa vengeance, faire du mal à tous ceux qui lui en ont fait, leur faire comprendre ce que l'enfant apeurée avait pu ressentir. Elle s'était sentie trahie, blessée par le fait que sa mère ne prenne pas sa défense, ne tienne pas la promesse de veiller sur son enfant comme l'aurait fait une mère. Elle l'a maudit pour ça, avant que la garde ne l'emporte, jurant pour qu'elle meure dans d'atroces souffrances. Personne ne lui a fait connaître l'amour, sentiment auquel elle est fermée. Elle n'est guère démonstrative, si ce n'est avec les femmes qui partagent sa couche, mais ça n'a aucune signification pour elle qui finit toujours par se replonger derrière un masque d'indifférence et d'impassibilité.

La vengeance fait battre son cœur vide et froid. D'un tempérament impulsif et impatient, la Témérienne sait qu'elle doit faire preuve de patience pour assouvir ses plus sombres désirs. Elle a besoin d'aide et de moyens. Elle ne peut pas attaquer une forteresse avec quelques bandits. Ni passer par la grande porte. Il lui faut un plan solide pour atteindre ses cibles. Colérique, elle laisse aussi ses émotions la dicter. Même si elle ne tue pas n'importe qui, elle n'a pas peur de faire couler le sang, en guise d'exemple. Elle n'est pas de ceux qui défendent la veuve et l'orphelin, elle agit dans son propre intérêt, individualiste plus qu'égoïste et a donc choisie de s'épargner une vie le dos courbé à ramasser de la boue dans les champs. Blessée par la vie et des croyances, elle a été façonnée par les épreuves qu'elle a dû traverser. Ce n'est pas elle qui a choisi la voie du mal, il a été insinué en elle comme un poison dans ses veines par ces personnes qui ont fait de sa vie un enfer. 

HISTOIRE ▬ Ecrivez ici l'histoire de votre personnage en un minimum de 500 mots.

Il était une fois, vivait une princesse dans un château. Elle était toute jolie mais le mal était en elle. Cette petite fille s'égara dans une immense forêt, attirée là par un lapin blanc. Elle le suivit plus profondément jusqu'à se perdre entre les arbres. Elle ne reconnaissait pas le chemin pour rentrer chez elle. Il faisait plus sombre maintenant et les arbres semblaient se rapprocher. Il n'y avait plus aucune trace de ce lapin et l'inquiétude gagnait la petite fille qui s'était perdue. Personne ne viendrait la chercher. Le vent se mit à souffler fort, battant dans ses tympans. Des nuées de corbeaux tournaient au-dessus de sa tête avant de s'envoler. Une brindille craqua près d'elle et une silhouette sombre émergea des rangées d'arbres. Un cri terrifiant quitta la gorge de la princesse qui pris ses jambes à son cou, courant aussi vite qu'elle le pouvait, le plus loin possible. Elle ne devait pas s'arrêter. Mais plus elle courait et plus elle s'enfonçait au cœur du domaine de ce qui la rattrapait. Les branches fouettaient son visage et écorchaient ses genoux. Elle trébucha sur une racine, s'écroulant au sol, son genou endolori. Quand elle leva son visage, le monstre était penché sur elle. Elle le voyait bien maintenant. C'était une silhouette humaine mais qui paraissait difforme. Son visage était pâle et décharné. Ce qui la frappa était l'absence de ses yeux. Il n'y avait qu'une bouche avec des dents en pointe mais on aurait presque pu penser que cette bouche s'étirait en un sourire. Son corps était maigre et d'une taille anormalement grande et ses longs bras étaient tentaculaires. Elle essaya de s'enfuir mais les tentacules attrapèrent ses chevilles avant de la soulever en l'air. La bouche du monstre s'ouvrir, laissant apparaître une gueule béante. L'enfant cria de désespoir, de peur et tout s'arrêta.

Elle se réveilla en sursaut, la respiration saccadée, mettant plusieurs secondes à savoir où elle était, à comprendre qu'il s'agissait encore de ce même cauchemar. Elle était en sueur, tremblante et vulnérable. Son cri avait réveillé le petit groupe qui l'entourait. Elle sentait leurs regards braqués sur elle. L'homme près d'elle, s'assit à ses côtés, posa sa main sur sa joue qu'il effleura. Ils s'éloignèrent et elle confia son cauchemar. Elle se voyait dans une forêt, poursuivie par un monstre qui finissait par la dévorer. Le monstre n'avait pas toujours la même apparence mais il y avait toujours des similitudes dans ce cauchemar. Elle faisait le même depuis qu'elle était enfant, hantée la nuit par ces créatures de l'ombre. Les seules fois où elle dormait paisiblement, c'était quand sa sœur dormait avec elle, la tenant dans ses bras. Lyanna avait toujours eu ce pouvoir de la réconforter. Elle avait toujours les mots pour la rassurer. Cette trahison fut la plus dure à supporter pour Scylla qui voyait les choses de cette manière. Lyanna n'avait pas pris sa défense, sa mère non plus et son père avait scellé son sort, décidant de la bannir de son foyer, séparé de tout ce qu'elle connaissait.

Elle devait son sort à une superstition ancienne, elle dont la seule faute était d'être née durant une éclipse. On la croyait maudite, porteuse d'un mal ancestral. Cette malédiction, le Soleil Noir, était la source de tous ses maux, son isolement, le rejet de ses parents qui préféraient leur fille aînée au monstre qu'elle aurait pu devenir. Si elle était devenue ce monstre, c'était uniquement à cause de ce qu'on lui a fait subir, elle qui ne connut guère l'affection et la tendresse maternelle. Elle avait toujours été rejetée et son bannissement n'était que la suite logique. Ses parents devaient penser qu'ils seraient en sécurité s'ils l'éloignait d'eux le plus loin possible. Mais cela n'avait fait qu'attiser sa haine et sa colère. Les chevaliers qui l'escortaient soufflèrent les braises de son désir de vengeance. Elle avait subit leur maltraitance. Et quand l'un abusa d'elle, elle jura de tous les tuer, où qu'ils soient. Certes mais elle devait survivre si elle comptait assouvir sa soif de vengeance. Alors que la faim et le froid la tenait, elle s'écroula sur le sol enneigé et fut recueillit par un groupe qui prit soin d'elle. Des crapules, des malandrins, des criminels, des déserteurs. Voilà de quoi était constitué le groupe de brigands. Et pourtant, aucun d'eux ne fit du mal à la jeune fille, contrairement aux chevaliers qui prétendaient avoir des valeurs dignes. C'est là qu'elle comprit que les apparences étaient trompeuses. Scylla avait beaucoup appris auprès d'eux. Elle savait se battre à l'épée, entraînée par un vétéran qui lui enseigna tout ce qu'il savait avant de passer de l'autre côté. Elle devint une guerrière féroce et acharnée, impitoyable face à ses adversaires et qui n'avait pas peur de faire couler le sang.

Du sang, elle en avait sur les mains. Elle avait assassiné des personnes, simplement parce qu'ils refusaient d'obtempérer aux ordres des bandits qui réclamaient tributs et bétails des villageois. Ce mode de vie lui convenait. Elle ne s'imaginait pas se ruiner le dos, les pieds dans la bouse à cultiver des terres pour ne pas obtenir le fruit de son labeur. C'était indigne d'elle. La compagnie de malfrats se partageait le butin en part égale, une partie alimentant la caisse du groupe qui finançait leurs dépenses, ce dont ils avaient besoin pour survivre rudement. Quand elle économisait quelques pièces, la jeune renégate les dépensaient dans un bordel, en charmante compagnie, avec une femme entre ses cuisses. Il fallait bien profiter des petits plaisirs de la vie. Surtout quand elle savait que sa ligne de vie était courte. Sa façon de vivre ne pouvait se concilier avec une retraite paisible. Elle ne mourrait pas dans son lit, c'était déjà acquis dans son esprit. Elle mourrait en croisant le fer ou rien d'autre, car elle n'avait pas l'intention de se faire capturer.

Elle avait l'instinct de survie en elle, ayant réchapper à la mort qui se présentait à elle quand son groupe tomba dans une embuscade. Ce fut un véritable massacre mais elle feint sa propre mort, maculé du sang de ses amis et quand l'occasion se présenta, sortit de la fosse et partit le plus loin possible, cherchant à reprendre des forces. Seule, elle n'irait pas bien loin. Elle en avait conscience. Elle avait besoin de s'entourer pour prendre sa revanche, tuer ceux sur sa liste, les uns après les autres. Et la chance retourna en son sens quand elle croisa la route de bandits en fuite, constituant un nouveau groupe avec ces parias. Elle préférait qu'on l'oublie, qu'on la sache morte avant son coup d'éclat. Elle devait encore penser à son plan. Elle ne pouvait retourner chez elle, comme si de rien n'était. Elle ne pourrait approcher les personnes de sa famille. Et quand bien même elle y arriverait, il lui faudrait un moyen de fuir car elle ne comptait pas en faire une mission suicide.

+ Votre pseudo sur le net : Witchfather.
+ Votre age : 23 ans.
+ Fréquence de connexion : Plusieurs fois par semaine.
+ Comment avez vous connu le forum ? Pub.
+ Des questions ? Non.
+ Crédits des images que vous utilisez : @Praimfaya.
+ Célébrité utilisée pour l'avatar : Emma Appleton.